Deux start-up issues du Genopole d’Evry et l’Institut de la Vision s’associent pour créer des thérapies géniques ciblant des maladies de la rétine. Et réduire drastiquement les délais de développement grâce à l’intelligence artificielle.
C’est un partenariat hors normes entre la médecine génomique et l’intelligence artificielle qui ouvre des « possibilités sans précédent » pour soigner des patients condamnés à la cécité. L’Institut de la Vision, centre de recherche de premier plan dédié aux maladies liées à la vision, s’est associé avec deux start-up issues du Genopole d’Evry (Essonne), WhiteLab Genomics, spécialiste de l’IA en médecine génomique , et ADLIN Science, plateforme digitale qui accompagne les chercheurs du public et du privé dans la gestion de leurs données, pour développer de nouvelles thérapies géniques en ophtalmologie.
Doté d’un budget de 4 millions d’euros, soutenu à parts égales par l’Etat et la région Ile-de-France via le plan d’investissement « France 2030 », ce nouveau programme de recherche annoncé ce lundi, cible des maladies de la rétine, et en particulier les cellules responsables des captures de lumière.
Source : Les Echos